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Aristide et Andromarque: bravo les 2 compères!
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  • Il en faut peu pour être heureux, vraiment très peu pour être heureux ; il faut se satisfaire du nécessaire ; rayons de soleil dans un vélux et un bon cigare dans l'anus. La la la lop bom bidoum.
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2 novembre 2008

Vous allez connaître l'incurable.

279_oubliAujourd'hui, je ne commencerai pas mon article par aujourd'hui. C'était une très mauvaise habitude, et je m'embourbe dans les habitudes. Rester imprévisible, c'est la clef.

Les voisins du dessous se sont mis au garde-pied, le rez-de-chaussée étant plein à craquer. Vous commencez à perdre pied, et c'est normal, rien d'anormal là-dedans, ce n'est qu'une réaction de premier plan.
Le sommeil ne vient pas, rapport à la bave alcoolisée qui coule sur ses lèvres, mais aussi ailleurs. Personne n'y prête vraiment attention pour ne pas ruiner la situation. C'est un peu un jeu à somme nulle, alors on accepte qu'un couillon s'en prenne plein la gueule pour le bienfait de la communauté. Jusque là, rien d'anormal. Banal, même, bien que le banal puisse parfois se révéler atrocement anormal, mais nous éviterons les exceptions qui confirment la règle, parce que ça tend surtout à tout compliquer. Et rappelez-vous en, la simplicité est le mot d'ordre, jusqu'à preuve du contraire.

C'est une ambiance lumineuse. On aime ou on aime pas. Je ne vois pas bien ce qui vous donnerait le droit de donner un avis. Comme souvent, c'est lorsqu'on ferait mieux de se taire qu'on braille. L'Humain est une machine complexe, surtout si on considère l'intuition humaine sur l'Humain, dans un mouvement rotatif autocentré absolument gerbant si on ne regarde pas ses pieds en bas, si loin du cyprès.

Vous avez le droit de rire. Vous avez le droit de faire semblant. Je ne vous entend pas.

Des rêves, un grand fil rouge qu'on ne voit qu'en clignant des yeux dans la pénombre, des rêves et un crumble au potiron qui se prend pour un gratin de courgettes.

C'est le mal de l'époque.

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