8 avril 2009
La vida loca.
Cher roommate, tu ne m'as pas l'air méchant. Je dirais même que tu es un brave type. Et d'ailleurs tu m'apitoies souvent par ton immaturité, flagrante au quotidien. Mais oui je veux bien t'allumer le gaz. Peut-être devrais-tu jeter la nourriture que tu as laissé pourrir dans le frigidaire, au fait. Ce n'est pas que je m'inquiète pour ma bouffe, mais si en fait.
Tu cherches à prendre contrôle de la pièce, contaminant mon espace, mon air. Laisse moi te dire que je résiste et résisterai, à ma manière.
Lorsqu'on les regarde d'un peu trop près, nos semblables nous apparaissent dans toute leur laideur.
Lorsqu'on vit dans une forte promiscuité, il est aisément simple de se détester.
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