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Aristide et Andromarque: bravo les 2 compères!
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  • Il en faut peu pour être heureux, vraiment très peu pour être heureux ; il faut se satisfaire du nécessaire ; rayons de soleil dans un vélux et un bon cigare dans l'anus. La la la lop bom bidoum.
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16 octobre 2008

Hamburger lady.

crimeAu loin.
Au loin, il y a des gens dans un bâtiment, et ils ne bougent pas.
Quand je dis loin, j'exagère peut-être. Il sont à 100 mètres, à vol d'oiseau.
Ils ne bougent pas, mais on distingue leurs bras. Je n'aime pas ça.
Ils regardent un film qui déroule son scénario alambiqué sur le mur, ou peut-être n'est-ce pas un film, mais la lumière, elle, est bien présente. Un expert en conclurait qu'il s'agit d'un vidéo-projecteur. Miracles de la technologie moderne. Le vide est réduit à néant.

Et autres dénouement tortueux.

Le défi de la semaine est d'oublier quelqu'un qui refuse résolument de sortir de ma tête. Mais est-ce bien raisonnable?
Je suis empli d'un sentiment mixte, un mélange de fureur, nostalgie, jalousie, colère, déception, désespoir, angoisse, faiblesse. C'est assez indigeste.

Mais quel gâchis!

La masturbation comme thérapie, la cigarette aussi. Ca ne fonctionne pas vraiment. Je vais casser la gueule à ce charlatan de docteur.
Et les yeux grands ouverts, la braguette aussi. Reluquer tout ce qui passe, trouver quelqu'un, n'importe qui. N'importe qui, mais vite.

J'ai perdu cette confiance qui suffisait à tout.

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Commentaires
S
'-_- Entre la strangulation et ça, tu bats des records en horreurs.
A
Mange ton visage toi.
S
E, arrête de faire l'enfant !
L
......................................................................................................................................................................................................................
A
Je ne sais pas, mais la version de l'amour que je vis (si c'est de l'amour) est loin d'être un sentiment agréable. J'ai déja donné au niveau angoisse, je sais pas si j'ai besoin d'un sentiment qui m'arrache la cage thoracique en permanence.<br /> <br /> Alors oui, je donnerai n'importe quoi pour un subterfuge pathétique, un leurre, un oubli.<br /> Et si c'est impossible d'oublier, si je suis condamné à me traîner ce sentiment d'enfermement ignoble, alors je préfère autant me couper la carotide directement.
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